Mercredi 20 mars, Karine Vincent, du Syndicat de l'Orge, est venue avec sa grande carte du monde pour faire voyager nos petits élèves de 6ème6.
En effet, c'est bien beau le cycle de l'eau, c'est bien beau le cycle de l'eau domestique, les usines de potabilisation, les stations d'épuration, ... MAIS, est-ce partout pareil ? Partout dans le monde ? Est-ce que partout dans le monde, on se soucie du gaspillage, on fait attention à la non-pollution de l'eau ?
Polluée, gaspillée, surexploitée, l’eau est traitée comme une ressource inépuisable. Pourtant, 1,1 milliard de personnes n’ont pas accès à l’eau potable et 2,6 milliards de personnes manquent d’installations sanitaires de base.
8 millions de personnes meurent chaque année de maladies liées à la présence d’eaux stagnantes ou polluées, comme le choléra, la diarrhée ou la typhoïde.
Les écarts de consommation d’eau sont également très importants entre les pays : alors qu’un américain consomme en moyenne 600 litres d’eau par jour, un européen en consomme 250. En Afrique sub-Saharienne, cette consommation est évaluée à 30 litres par habitant et par jour.
Sources : « Atlas Mondial du développement durable ».
Après avoir fait la distinction entre CLIMAT et METEO, partons à trois endroits différents du monde et voyons comment cela se passe.
Partons à Las Végas aux U.S.A., à Aman en Jordanie et au pays des Dorons au Mali.
Les élèves ont visionné des reportages sur ces trois sites et ils ont discuté des différences de l'utilisation de l'eau dans ces trois régions du monde.
Dans tous les cas, l'eau est une ressource vitale et est comptée, voire rationnée. Cela demande une organisation minutieuse et équitable.
Mais à Las Végas, on s'en sert aussi pour les jardins et les golfs ! En Jordanie ou au Mali, l'eau n'est pas abondante du tout, elle est primordiale à la survie des populations.
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